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Roland LOMBARDI

25,00 EUR
POUTINE D'ARABIEde Roland LOMBARDI

Dès les débuts des printemps arabes et suite à  l’intervention occidentale en Libye pour renverser Kadhafi en 2011, le Kremlin se lança alors dans une politique pro-active. En effet, échaudés par l’affaire libyenne, où  les Russes se sont sentis floués, ils vont d’abord en Syrie, soutenir diplomatiquement Assad aux prises avec un soulèvement populaire qui dégénérera très vite en guerre civile. Puis, le 30 septembre 2015, les forces militaires russes interviendront directement dans le conflit syrien...
24,00 EUR
ABDEL FATTAH AL-SISSI, LE BONAPARTE ÉGYPTIEN ?de Roland LOMBARDI

Abdel Fattah al-Sissi est le chef d’État arabe le plus menacé par tous les islamistes de la planète qui lui promettent le sort de Sadate, assassiné en 1981.

En dépit de ses atteintes répétées à liberté d’expression que l’on ne peut que condamner, et même si la démocratie devra encore attendre sur les bords du Nil, le sulfureux président égyptien semble toujours néanmoins, depuis sa prise du pouvoir en juillet 2013, intègre, honnête et surtout animé par une réelle volonté, sans précédent historique, de réformer et moderniser son pays pour le bien commun et l’intérêt général.
29,00 EUR
LES TRENTE HONTEUSESde Roland LOMBARDI

« Les Trente Honteuses » sont l’histoire des relations entre la France, Israël et le Liban, durant une période qui s’étend de la fin de la guerre d’Algérie (1962) à la fin de la guerre civile libanaise (1990). Mais elles sont aussi, l’histoire des trente années qui ont finalement creusé le tombeau de l’influence française dans le monde arabo-musulman en général. Ce livre est le premier ouvrage d’un spécialiste qui met en perspective la politique arabe de la France et les relations franco-israéliennes notamment au travers de la guerre du Liban (1975-1990).

25,00 EUR
SOMMES NOUS ARRIVÉS A LA FIN DE L'HISTOIRE ?

de Roland LOMBARDI

Pandémie, islamisme, guerre économique mondiale, crises sociétales majeures, l’Occident semble à bout de souffle. Sommes-nous pour autant arrivés à la fin de l’histoire, comme l’écrivait l’économiste et politologue Francis Fukuyama ?