de Nicolas MOINET
Après l’école des nouveaux « espions », « Soft Powers » poursuit le voyage sur Les sentiers de la guerre économique. Ce récit, d’abord personnel, d’une aventure collective entre mythes et réalités, faux-semblants et non-dits, propose un voyage initiatique, tire des enseignements de nombreux cas vécus ou observés, et propose des pistes de réflexion sur le soft power comme clé de voûte de la nouvelle guerre économique systémique. Il invite à explorer les stratégies d’influence des États, des entreprises ou des ONG, en les replaçant sur les échiquiers invisibles de la mondialisation. Plus que jamais, le pouvoir gère, avec une subtilité extrême, le désordre qu’il prend en charge par des systèmes de communication, des normes, des stratégies ouvertes… et des dominations masquées et déguisées.
« Soft Powers » dévoile ainsi le dessous des cartes de l’influence, présente ses acteurs et décrypte ses méthodes, jusqu’à initier une véritable réflexion sur le sens de ce pouvoir feutré qui enveloppe de toute part. Il questionne également la posture de la France et de l’Europe, prises en étau entre deux hyperpuissances, et invite à réapprendre à observer le réel pour en finir avec les dénis de réalité ou la déconstruction permanente qui nous conduisent de défaite en défaite. La longue marche sur les sentiers de la guerre économique est donc encore loin d’être terminée !
SOMMAIRE : Les échiquiers invisibles. Métro, Louvre, Tour Eiffel. Bas les masques ! Idées-Action. Small World ! « Open Society », really ? Transparence internationale. Vert Pacifique. La Compagnie française des Pétroles. La guerre pour, par et contre l’information. La guerre des labos. Une petite pilule rose. Des barbouzes sur le campus. La course aux étoiles. « Visit US ! » La Nouvelle-France. Lobby or not lobby ? Agilité ou paralysie...
1 vol. 14 x 21
182 p.
Octobre 2020 |