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Hervé TORCHET

370,00 EUR
LA REFORMATION DES FOUAGES DE  1426 - ANCIEN DIOCESE DE SAINT-MALO
Édité et présenté par Hervé Torchet  

La publication porte sur l’ancien diocèse de Saint-Malo, soit environ 176 paroisses et trèves, y compris des enclaves de l’ancien diocèse de Dol, regroupant plus de 19 400 chefs de famille, dont 1005 nobles, un chiffre très élevé à la fois en valeur absolue et en proportion de la population globale. Les originaux étant tous perdus, il a fallu s’appuyer sur des transcriptions partielles faites au XVIIe siècle, faisant état seulement des nobles et des métayers de nobles, exempts comme eux. Dans une forte partie des paroisses, les noms des manoirs sont détaillés ainsi que ceux des résidents en plus de ceux de leurs propriétaires.

370,00 EUR
LA REFORMATION DES FOUAGES DE  1426 - ANCIEN DIOCESE DE TREGUIER

Édité et présenté par Hervé Torchet 

Après le diocèse de Cornouaille, la publication porte sur celui de Tréguier, soit envi­ron 110 paroisses de l’époque, regroupant plus de 15 000 chefs de famille. On y trouve la trace des découpages de la période obscure du Moyen Âge : enclaves de Dol, portion du Goëllo…À côté de la Réformation, cette publication développe un nobiliaire et armorial, plus de 520 notices biographiques et généalogiques sur les nobles qui y sont mentionnés, avec, autant que possible, l’étude de l’origine de leur propriété du manoir. Il y avait, en Cornouaille, environ 750 nobles sur 20 000 chefs de famille ; il y a, en Trégor, près de 1000 nobles sur 15 000, soit une proportion double.


470,00 EUR
LA REFORMATION DES FOUAGES DE  1426 - ANCIEN DIOCESE DE VANNES
Édité et présenté par Hervé Torchet

La Réformation des Fouages de 1426 est le premier recensement qui ait jamais eu lieu en Bretagne, le plus vaste conservé de toute l’Europe pour cette époque. Effectué dans une période historique cruciale, la charnière de la guerre de Cent Ans, cet inventaire des Bretons du début du XVe siècle avait un double objectif : connaître la population imposable et, donc, la capacité du duché à payer l’impôt pour financer la guerre, et, d’autre part, à travers l’énumération des nobles et de leurs manoirs, évaluer la force de frappe de l’ost ducal puisque les nobles, exemptés d’impôt, étaient en revanche assujettis à un service militaire.