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Quand l’idéologie menace l’intégrité cognitive
et la liberté de l’espèce humaine
de Jean-François LE DRIAN
Il y a plusieurs décennies, les philosophes post-modernes préparèrent le terrain à l’émancipation du réel. Les chercheurs en sciences sociales, les activistes, accueillirent avec bienveillance les théories qui leur procuraient une licence pour dire tout et son contraire et pour imposer leurs propres normes et idéologies. Depuis, les relativismes en tout genre n’ont cessé de s’infuser dans la société. Les esprits entrainés de longue date à ne plus détecter l’inconsistance et/ou l’invraisemblance sont désormais gouvernables par des platitudes. |
| | | Décider en situation de crise
de N. Gourdin, S. Rallon, F. Jordan
Dans le combat cognitif, c’est tout naturellement vers l’armée et les environnements dégradés auxquels les militaires sont confrontés, que cet ouvrage propose de chercher des méthodes. Celles-ci permettent d’atteindre les conditions d’un aguerrissement mental propre à faciliter l’évolution des personnes dans un environnement en état de crise permanente avec plus d’aisance et en subissant le moins de dommages comportementaux possibles.
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Une violence qui s’ignore
de Alexandre BAUMANN
L’agribashing est un problème de grande ampleur promu par un petit groupe de personnes intéressées, surfant sur des tendances sociétales. C’est un phénomène qui se construit depuis plusieurs dizaines d’années autour de la pseudo-écologie, de l’anticapitalisme, de ce qu’on pourrait appeler l’hygiénisme (la nature doit rester « pure ») et de l’antispécisme.
Ce livre présente ce système et ses mécaniques. Surtout, vous réaliserez que l’écologie politique n’a rien d’écologique et tout de politique. |
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A bas l'ancienne bande, vive la nouvelle !
de KAMEL LAKHDAR CHAOUCHE & LINDA SOUMMAM
Algérie : La guerre des clans montre une nouvelle approche d’analyse et d’écriture. Il ne s’agit pas d’un travail issu de recherches universitaires traitant de l’histoire politique de l’Algérie. Ce livre s’inscrit dans une démarche journalistique. Il met en scène la guerre des clans, celle de certains généraux prêts à marcher sur les cadavres des Algériens pour défendre leurs intérêts et ceux de leurs progénitures. À ce titre, l’Algérie est un cas d’école en matière de répression et de corruption. Corruption massive, dilapidation de la rente pétrolière, abus de pouvoir, chantage, ramifications avec des réseaux financiers nationaux et internationaux, bradage du foncier et de l’immobilier national, complot contre l’armée, espionnage et opérations visant à la déstabilisation du pays sont autant de chefs d’inculpation prononcés par la « nouvelle Algérie », et cela continue. |
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