du Colonel Arnaud
Cet ouvrage de plus de 150 000 références, où figurent environ 50 000 familles, a nécessité toute une vie de travail et recense les généalogies imprimées sur trois générations et plus. Leurs origines, le rôle qu’elles ont joué, leur évolution et leur mode de vie sont des plus divers. Cet usuel que tout généalogiste, tout spécialiste ou simple amateur de l’histoire des familles, se doit de posséder, trouvera pleinement sa place dans la bibliothèque de tout « honnête homme ». Une véritable mine et un formidable point de départ pour qui trouve une référence sur sa famille ou celles qu’il étudie.
Ouvrage, absolument essentiel à tout généalogiste débutant ou chevronné ! |
| de Franck Coudray
Contrairement aux biographies royales ou princières que l’on trouve en abondance, il demeure assez rare que les écrivains s’intéressent à des personnages qualifiés de moindre importance qui jouèrent pourtant un rôle primordial dans l’histoire d’une région. Il est vrai qu’il est plus difficile de mettre en avant une famille ou une personnalité vivant dans un passé lointain dont la renommée ne dépassait pas le cadre local ou régional. Il n’y a donc que peu d’écrits concernant la petite noblesse de province qui fut pourtant actrice dans la construction de la France.
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de Philippe Houel de Chaulieu
Découvrez la richesse de l'histoire de Bretagne à travers le prisme d'une famille emblématique : la noble famille Chéreil de la Rivière. Plongez-vous dans cette étude captivante qui tisse ensemble la généalogie, l'histoire et la culture bretonnes, à travers les hauts et les bas d'une famille qui a su traverser les époques et rester debout face aux tourments de l'histoire.
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Édité et présenté par Hervé Torchet
La publication porte sur l’ancien diocèse de Saint-Malo, soit environ 176 paroisses et trèves, y compris des enclaves de l’ancien diocèse de Dol, regroupant plus de 19 400 chefs de famille, dont 1005 nobles, un chiffre très élevé à la fois en valeur absolue et en proportion de la population globale. Les originaux étant tous perdus, il a fallu s’appuyer sur des transcriptions partielles faites au XVIIe siècle, faisant état seulement des nobles et des métayers de nobles, exempts comme eux. Dans une forte partie des paroisses, les noms des manoirs sont détaillés ainsi que ceux des résidents en plus de ceux de leurs propriétaires.
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Édité et présenté par Hervé Torchet
Après le diocèse de Cornouaille, la publication porte sur celui de Tréguier, soit environ 110 paroisses de l’époque, regroupant plus de 15 000 chefs de famille. On y trouve la trace des découpages de la période obscure du Moyen Âge : enclaves de Dol, portion du Goëllo…À côté de la Réformation, cette publication développe un nobiliaire et armorial, plus de 520 notices biographiques et généalogiques sur les nobles qui y sont mentionnés, avec, autant que possible, l’étude de l’origine de leur propriété du manoir. Il y avait, en Cornouaille, environ 750 nobles sur 20 000 chefs de famille ; il y a, en Trégor, près de 1000 nobles sur 15 000, soit une proportion double.
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Édité et présenté par Hervé Torchet
Dix ans après avoir publié pour la première fois la Réformation des Fouages de 1426 pour la Cornouaille, et fort de l’expérience de quatre volumes de cette Réformation parus, Hervé Torchet revient sur la Cornouaille en publiant la Montre générale de 1481 pour cet ancien diocèse, un document que l’on croyait déjà bien connu et qui révèle de nouveaux traits inédits. Plus de 90 % des personnages appelés à la Montre (tous tenants de fiefs nobles) sont sûrement nobles depuis au moins trois générations, et se font accompagner d’escortes où se mêlent nobles et roturiers. |
| et de leur manoir et biens en Plourin-les-Morlaix
De Claude-Youenn Roussel & Brigitte et Gilles de Calan
Situé à Plourin-lès-Morlaix sur la route stratégique de Morlaix à Carhaix, le manoir de Coatanscour est riche d’au moins 700 ans d’histoire. Né comme fief de rang éminent dans un dispositif du temps des chevaliers et des ducs de Bretagne, il est devenu peu à peu un grand domaine ancré dans les différentes époques qu’il a traversées.
Il commença à tisser des liens avec le château de Kerjean dès le XVIe siècle et ces liens devinrent si étroits que les maîtres du manoir devinrent aussi ceux du château et que les Coatanscour s’installèrent à Kerjean à l’époque du roi Louis XIV. L’histoire des deux sites se confondit pendant tout le dernier siècle de la monarchie absolue. Et ce fut encore un Barbier de Lescoet, descendant des Barbier de Kerjean, qui racheta Coatanscour après la Révolution où périt tragiquement la dernière des Coatanscour. |
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Édité et présenté par Hervé Torchet
La Réformation des Fouages de 1426 est le premier recensement qui ait jamais eu lieu en Bretagne. Effectué dans une période historique cruciale, la charnière de la guerre de Cent Ans, cet inventaire des Bretons du début du XVe siècle avait un double objectif : connaître la population imposable et, donc, la capacité du duché à payer l’impôt pour financer la guerre, et, d’autre part, à travers l’énumération des nobles et de leurs manoirs, évaluer la force de frappe de l’ost ducal, puisque les nobles, exemptés d’impôt, étaient en revanche assujettis à un service militaire.
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Édité et présenté par Hervé Torchet
La publication porte sur l’ancien diocèse de Saint-Brieuc, soit environ 110 paroisses et trèves, y compris les enclaves de l’ancien diocèse de Dol, regroupant plus de 18 000 chefs de famille, dont presque 1500 nobles, un chiffre inégalé dans les autres diocèses déjà publiés : Cornouaille, Tréguier, Saint-Malo et Léon.
Dans une soixantaine de paroisses, le texte est intégral, parfois de la main même des commissaires, parfois des copies faites à l’époque pour les archives, et parfois, nous avons le texte de deux enquêtes faites à quelques mois ou années d’écart dans la même localité. Chaque chef de famille est recensé en face du lieu où il vit. Les commissaires sont parfois précis : marié, vieil impotent, femme veuve, etc.
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